Les poèmes du livre de Laurence Lépine sont adressés à une sœur en poésie, Ingeborg Bachmann,
morte en 1973. Parmi les mille facettes qui composent Le Jour nouveau à naître, ce texte est aussi
une conversation par-delà l’absence. La poésie forge un lien d’amitié, dans le sens fort, amoureux,
de ce terme. Le silence a ici autant d’importance que les mots et cet espace blanc, offert à chaque
page, laisse une place à la voix de l’autre.
L’écriture de Laurence Lépine se réduit à l’essentiel. Il est souvent question de feu dans ses
poèmes. De lumière aussi. Et de ce qui subsiste : les cendres, un « noir abécédaire ». Dans Le Jour
nouveau à naître, le lecteur se trouve au cœur même, dévoilée, de la poésie.
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