En 1972, un jeune éditeur de vingt-huit ans prend contact avec un écrivain un peu oublié qui en a soixante-trois. L’un est un passionné, à la recherche d’incunables publiés sous pseudonyme, l’autre un sauvage qui, cependant, se pique au jeu, et voit renaître une part oubliée de son œuvre. Au « Cher Monsieur » des premiers échanges succède vite un « Mon vieux Guérif », qui devient une tradition. François Guérif sera l’éditeur de Malet, et leur amitié se poursuivra jusqu’à la mort de l’écrivain.
Dans ses lettres, Léo Malet ressemble étrangement à son héros Nestor Burma : ironique, caractériel, tendre et filou, avec un goût prononcé pour l’érotisme.
Les savoureuses dédicaces-collages néo-surréalistes de Léo Malet à François Guérif témoignent de la complicité qui unit les deux hommes.
Vous êtes fan de Nestor Burma et des nouveaux mystères deParis ? Vous allez vous plonger avec délices dans cette correspondance entretenue par Léo Malet avec François Guérif, fondateur des éditions Rivages et grand amateur de polar devant l’éternel. Au ...
Lire la suiteVos libraires s'associent pour vous parler du livre AUTREMENT