Les librairies Agenda Coups de coeur
21 octobre 2014

disparition, Etats-Unis, famille

J'ai aimé cette promenade le long du Mississippi sur un bateau à aube. Les gens y viennent danser mais aussi chercher la fraîcheur sur le fleuve.

J'y ai découvert que ces bateaux étaient de vieux rafiots qu'une simple collision pouvait transformer en allumettes et qui ne tenaient que par les couches successives de peintures.

Les musiciens sont aussi balayeurs avant ou après les concerts ; concerts qui pouvaient avoir lieu jusqu'à 3 fois par jour.

L'histoire de la recherche de la petite Lily m'a moins passionnée, car la petite fille semble trouver des avantages matériels dans sa nouvelle famille.

Enfin, l'histoire de la vengeance ne m'a pas passionnée, car j'étais déjà convaincue de l'inanité de celle-ci.

Au final, j'ai aimé suivre les pas de Sam depuis son enfance éclatée jusqu'à la fin de l'aventure.

L'image que je retiendrai :

Celle de Sam découvrant le violon de son père et se remettant à jouer du piano avec plus de sérieux.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/20/30774265.html


21 octobre 2014

policier

Je retrouve avec plaisir la plume de l'auteure : saccadée, mais pas trop, au rythme haletant.

Qui plus est, l'auteure alterne les points de vue entre le personnage principal, Iris, qui raconte ses 5 jours dans la ville de son enfance, et les silences, qui nous content la généalogie et la vie d'Henry.

Le lecteur, tel Sherlock, cherche les liens entre les deux histoires. Et bien sûr, ne les trouve pas !

Pourtant, on devine une troisième histoire dans les deux histoires. J'adore !

Encore une fois, l'auteure m'a bien eue.

L'image que je retiendrai :

Celle du lac au fond du bois, dans lequel le tueur commet ses forfaits.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/17/30379750.html


21 octobre 2014

dépression, photographie

A ma grande honte, je ne connaissais pas Diane Arbus et son travail. J'ai aimé découvrir son enfance, puis sa vie de femme et son travail d'artiste.

L'auteure fait un parallèle avec sa propre vie et son travail d'écrivain.

En revanche, j'ai moins apprécié les descriptions des rêves de Laurence.

Je m'aperçois, quelques jours après cette lecture, qu'il ne m'en reste pas grand chose.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/14/30760930.html


21 octobre 2014

Espagne, franquisme

J'ai aimé ce récit très personnel de la révolution contre-franquiste (oui, bon, je n'y connais rien en histoire de l'Espagne, alors pour moi il y a les franquistes qui ont gagné, et les autres : communistes, gauchistes, doux rêveurs qui ont perdu).
On sent dans ces pages l'envie de libertés de la jeunesse paysanne qui plane pendant ces quelques jours.
Mais le retour à la réalité est toujours rude. Ainsi, la mise en parallèle du texte de Georges Bernanos (vous savez, celui de Sous le soleil de Satan) ne permet pas complètement de goûter à ces joies de la découverte d'une autre façon de penser le monde.
C'est ce qui m'a gêné lors de cette lecture. La différence entre ce que vit la mère de la narratrice et le romancier pourtant catholique pratiquant.
Alors oui, c'est enrichissant, mais tellement décalé, et dans le ton et dans le style, et dans le propos.
Ceci dit, j'ai beaucoup aimé les passages "finaux" du frère de la narratrice Josep qui se rend compte que tout ses idéaux sont des grands mots. Et j'ai peiné avec la mère de celle-ci dans son exode vers la France, une fois la fête révolutionnaire terminée.
Un roman qui ne cesse d'anoncer que "La fête est finie".....
L'image que je retiendrai :
Celle de Montse, la mère de la narratrice, se liant d'amitié avec son beau-père, pourtant d'une condition si différente de la sienne.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/12/30742931.html


21 octobre 2014

humour

J'ai passé un agréable moment de lecture à suivre les aventures
amoureuses de la toute fofolle Julie et de sa bande copains-copines.

J'ai rit à certaines maximes de la grand-mère (notamment celle
dans laquelle il est question de manger du rat à un mariage).

Et puis le personnage de Ric reste énigmatique, ténébreux et attentif
jusqu'au bout : un homme comme on en rêve (même si j'en ai déjà
un exemplaire à la maison).

Une histoire qui fait chaud au cœur et qui remonte le moral. On
se doute que l'auteur a parfois rit en écrivant certaines scènes.

L'image que je retiendrai :

Celle de la voiture XAV-1 : prototype de la voiture du future qui ne
passe pas par le porche de l'immeuble.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/10/30357867.html




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