Et patatras. Accident de chasse. La tuile ! Le geste qu’il faut pas au moment où il faut pas. Et patatras. Aveugle. Enfin, ça, c’est la version « officielle ». Pour les repas de famille…
Ça a sauvé mon confinement. Ça se joue à deux, on était deux, on savait pas quoi se dire, il a fallu trouver un moyen de cohabiter. Ce moyen absolument addictif s'appelle Jaipur.
Au commencement, il y a la couverture, un canevas hyper joli ou hyper moche selon votre année de naissance, qui ne laisse pas indifférent (quelle que soit votre année de naissance). Une fois le livre ouvert (et quel que soit votre âge), vous vous tapez avec un plaisir certain voire absolu une écriture douce, juste, poétique qui va à l’essentiel, à la rencontre d’une vie meurtrie par les croyances et l’éducation d’un père…
J'y retrouve tellement, de l'Odyssée, du Chrétien de Troyes, du Petit Prince, du Shakespeare, du conte, du théâtre, de la comédie et de la tragédie...
Un peu de l'évasion,
Un peu de l'ailleurs,
Un peu d'hier,
Un peu de tout de suite,
Des odeurs,
La main de l'autre sur la joue,
Sa main,
Ta main,
Sur ma joue.
Un peu de sentiers,
Un peu de route,
Un peu de tout,
Un peu d'amour,
Un peu d'elles.
Un peu d'elle.
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