Un livre qui vit, qui se matérialise et où l’on plonge dans un monde à la fois disparu, et bien plus, assez méconnu, une histoire d’ambiance et remplie de clés mystérieuses qui ouvrent des portes à qui peut les franchir. Ce roman ne peut que surprendre et éveiller la curiosité des racines de la civilisation où est née l’écriture. L’Odeur des Ombres de Babylone fait renaître un prestigieux passé. Babylone la resplendissante, ce phare du Proche-Orient ancien, ressurgit des dessous de la surface et reprend vie à travers le voyage tant attendu de Arrane dont Anna sera le faire-valoir et l’accompagnatrice. Cet homme a pris patience pendant soixante vies pour retourner là-bas. Il le doit. Lorsqu’il rencontre Anna, il décide qu’elle l’accompagnera sur le lieu de son passé. Anna attend un poste de reporter en Irak. Entre temps elle doit se rendre à Berlin pour photographier douze tablettes babyloniennes qui viennent à peine d’être traduites. Arrane a une horloge à eau, sésame précieux.
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