«Lina n’était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J’en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d’humeur,
ces sautes d’amour.» Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l’étouffe. En révélant une souffrance
insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l’adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu’à jamais blessée. Une trentaine d’années après Rochelle, Éric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. À travers le portrait solaire et douloureux d’une mère inconnue, l’auteur de Korsakov et de L’homme qui m’aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans.
Une trentaine d’années après Rochelle, Éric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. À travers le portrait solaire et douloureux d’une mère inconnue, l’auteur de Korsakov et de L’homme qui m’aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans.
17 ans, l’âge ou Lina donne naissance à Eric (Fottorino). Plus tard, bien plus tard, et au moment où Lina délivre à ses trois fils un secret enfoui, c’est l’occasion pour l’auteur de revenir sur les lieux de son enfance ...
Lire la suiteLongtemps, leurs relations ont été compliquées. Il avait consacré deux livres à ses pères (le biologique et l’adoptif), mais pas une ligne à Lina, sa mère. Injustice réparée aujourd’hui grâce à ce récit parfois tendre, parfois rude, mais toujours délicat. ...
Lire la suiteVos libraires s'associent pour vous parler du livre AUTREMENT