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Informations
EAN13
9782849245378
ISBN
978-2-84924-537-8
Éditeur
Éditions du Cygne
Date de publication
Collection
Roman francophone
Nombre de pages
73
Dimensions
21 x 14 x 0,7 cm
Poids
150 g
Langue
multilingue

Et cette fois face au Potomac

De

Éditions du Cygne

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Vendu par Librairie La Fabrique
Sur commande, habituellement expédié sous 4 à 7 jours ouvrés
12.00
Présentation

On la savait poétesse, essayiste, romancière, conteuse, traductrice, naturellement journaliste professionnelle et infatigable responsable et rédactrice en chef de l’association et de la revue qu’elle est bien déterminée à faire vivre Le Manoir des Poètes. Sans parler de l’animatrice d’ateliers d’écriture pour les enfants des écoles. Courageuse, déterminée rêveuse...comme la narratrice de sa nouvelle : Et Cette fois face au Potomac, qu’à son habitude, elle nous livre, dépouillée, dans un style camusien du constat et presque de l’absurde. « Aujourd’hui maman est morte », au lieu de cela « Yes I can », un défi lancé à la banalité d’une vie normale. Et je peux tout car je veux tout et j’irai jusqu’au bout de tout et de moi; il le faut, il faut se dépasser, s’imaginer et se recréer... Annpôl K., linguiste dicdacticienneLa pluma maestra de Maggy no escatima detalle al recrear un suspenso que nos conduce por vericuetos literarios a su modo, tal como todo autor debe lograrlo al imprimir su propia huella cargada de sentido y de formas de narrar diversas y sorprendentes. Logro que alcance Maggy cuando no se restringe al abordar la problemática humana describiendo los claroscuros del alma de la sociedad y de los seres en hallazgo o deshallazgo de sí mismos. Es una invitación clara para que disfruten este texto cargado de metáforas y de canto a la existencia cuando la oscuridad toca nuestras puertas y las profundidades de un lago se niegan a recibir nuestro aliento.Bella Clara Ventura, Novelista y poetaEt puis, comment oublier la poésie quand on lit : « les fenêtres du jour se referment progressivement et les prémisses du soir s’annoncent » ou encore « le soleil est encore là qui dore l’alpage de mon quotidien ». Alors, oui, je souligne le charme opéré sur moi à la lecture du voyage au bout d’elle-même de la femme désignée sous le pronom « je ».Jean-François Blavin, Sociétaire de la Société des Gens de Lettres

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