En poste depuis avril 1855 au "Moniteur universel", Gautier, jusqu’à 1864, ne parle plus de l’actualité musicale, traitée par Fiorentino. Aussi consacre-t-il une grande part de sa « Revue dramatique » à l’examen des reprises, par la Comédie-Française, des chefs-d’œuvre classiques ("Dom Juan", "Le Bourgeois gentilhomme") ou plus récents ("Chatterton"). Il continue aussi de se passionner pour le cirque et pour des scènes très populaires telles que le Palais-Royal.
Comme pour les treize volumes publiés depuis 2007, le texte a été établi avec soin et annoté en vue de souligner la richesse de ce regard exceptionnel sur l’histoire du théâtre vivant au XIXe siècle.
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