L'originalité de l'ouvrage tient à ce que l'auteur met en scène le personnage dans une version romancée et contemporaine, sous forme d'enquête policière, qui cependant respecte la biographie vraie du héros.
Cela permet d'apporter des réponses claires sur ces 3 questions :
1) Comment Nicolas Flamel a-t-il fait sa fortune. (Les écrits qu'il a laissés démontrent qu'il a fait sa fortune en fabriquant de l'or !)
2) Qui est réellement Nicolas Flamel ?
3) De nombreux chercheurs ont tenté de percer le secret de la Pierre Philosophale et de la transmutation des métaux vils en or le plus pur. C'est tout simplement à ces trois questions fondamentales que l'auteur souhaite initier ses lecteurs - en y apportant les réponses claires - et qui le distingue de tous ceux qui ont écrit avant lui sur le même sujet.
L'auteur part donc du postulat que Nicolas Flamel est toujours en vie et fait ainsi de lui un contemporain. Ce choix est une manière de rendre accessible à tous le langage et les symboles alchimiques, et d'éclairer totalement le propos. Cet ouvrage retrace la carrière de Nicolas Flamel qui débuta à Paris comme petit écrivain public, dont la vie fait couler l'encre depuis six cents ans. Le récit s'articule comme une enquête policière pendant laquelle la légende et les écrits de Flamel sont passés au peigne fin. Le but de l'auteur est d'amener le lecteur à découvrir par lui-même qu'elle était la véritable identité de Nicolas Flamel et surtout, à découvrir le nom de la " Prima Mataeria ", (matière primordiale ou matière première) à partir de laquelle la Pierre Philosophale peut être confectionnée en vue de transmuter les métaux vils en Or le plus pur.
Cet ouvrage est un traité d'alchimie savoureuse présenté sous forme de roman, qui se lit comme du Simenon. Il met fin à six siècles de spéculation sur l'origine de la fortune de Nicolas Flamel et les mystères qui entourent la vie de ce personnage du moyen âge, sage, populaire et bien-aimé.
Il résout les énigmes qui entourent la vie du héros et sa véritable identité, avec surprise !
Cet ouvrage en finit avec autant de siècles de recherches et de controverses au sujet de la nature véritable de la " Prima Mataeria " (Matière Primordiale sur quoi repose tout le Grand Oeuvre), dont on a vainement cherché jusqu'ici le nom secret. Les " messes basses de Nicolas Flamel " devraient ouvrir la carrière à de nombreux philosophes, adeptes et alchimistes en herbes, ce qui n'est pas négligeable, en temps de crise du " pouvoir d'achat. Sans parler aux frayeurs que cela pourrait causer à ces Messieurs de l'Hôtel des monnaies...
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