« [...] Mais où va le mondequand il ne tourne pas rond,miroir délectable de nospenchants cachés ? [...] »« De la peau, [la poésie de DavidAz en] a la texture, tantôt lisse tantôt calleuse, jamais facile, toujours engagée, criant, ondulant, caressant et heurtant à la fois les rythmes avec une tendresse profonde [...]. Son rythme se pique, épique, d'oser tanguer de saisons en néant, d'eau en sécheresse, d'espoir au bord du vide ou au milieu de rien ».
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