EAN13

9782362345708

ISBN

978-2-36234-570-8

Éditeur

Dynamite

Date de publication

13/04/2023

Nombre de pages

224

Dimensions

21,4 x 15,2 x 1,5 cm

Poids

340 g

Langue

français

Aucune femme ne résiste aux doigts d'or de Sumeragi Tenzen !
Ère Kansei. À Edo, le shogun Ienari, jeune homme notoirement obsédé sexuel, entretient un harem où les plus jolies femmes du Japon se bousculent dans sa couche. Ienari est loin d'être un amant vigoureux, mais il peut compter sur Tenzen, le préposé aux affaires nuptiales, pour " préparer " les concubines avec ses doigts de fée. Ainsi excitées par Tenzen, les jeunes femmes prennent un plaisir immense auprès du shogun, qui se rêve en étalon hors pair. Mais ce quotidien de débauche agace les plus puritains de ses ministres, qui fomentent un coup d'État...
Rendu célèbre par ses comédies érotiques publiées dans le magazine japonais Super Jump, Masakazu Yamaguchi assume son goût pour les jolies filles et les situations cocasses. Son trait unique, qui le différencie des autres mangakas de sa génération, est fait d'emprunts réguliers au grotesque japonais. Tantôt drôle, tantôt sensuelle, toujours étonnante, son œuvre méritait bien sa première traduction en français.Ère Kansei. À Edo, le shogun Ienari, jeune homme notoirement obsédé sexuel, entretient un harem où les plus jolies femmes du Japon se bousculent dans sa couche. Ienari est loin d'être un amant vigoureux, mais il peut compter sur Tenzen, le préposé aux affaires nuptiales, pour " préparer " les concubines avec ses doigts de fée. Ainsi excitées par Tenzen, les jeunes femmes prennent un plaisir immense auprès du shogun, qui se rêve en étalon hors pair. Mais ce quotidien de débauche agace les plus puritains de ses ministres, qui fomentent un coup d'État...Rendu célèbre par ses comédies érotiques publiées dans le magazine japonais Super Jump, Masakazu Yamaguchi assume son goût pour les jolies filles et les situations cocasses. Son trait unique, qui le différencie des autres mangakas de sa génération, est fait d'emprunts réguliers au grotesque japonais. Tantôt drôle, tantôt sensuelle, toujours étonnante, son œuvre méritait bien sa première traduction en français.