Il y a Paul et il y a monsieur Cézanne. Il y a le père et la femme, le jardinier Vallier, le docteur Gachet et les écrivains Flaubert et Zola. Tout un monde. Il y a les toits rouges sur la mer bleue, les mains, le sucrier, le chapeau, l'argent et les secrets. Il y a les silences, épais. Marie-Hélène Lafon est allée vers Cézanne comme on "va au paysage". À corps perdu. Cet essai en est la trace éblouie.
Après Flaubert, Marie-Hélène Lafon donne vie au peintre Cezanne en décrivant son admiration et en donnant vie à son entourage à partir de portraits. La personnalité du peintre est ainsi mise en perspective par son unique passion, celle consacrée à ...
Lire la suite« Aller au paysage ». Quelle jolie formule de Cézanne. Aller au paysage, comme « aller au combat » car c’est bien de cela qu’il s’agit pour le peintre d’Aix, notamment lorsque à la fin de sa vie il se ...
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