Au lendemain de la Grande Guerre, puis avec vingt autres essais en 1936, Alain dessine le portrait triste et sans concession de Mars, Dieu de la guerre, et des idées qui l'accompagnent : la patrie, la souffrance, le sacrifice, la discipline militaire...
Partout, Alain révèle à nouveau l'homme, l'individu, au milieu du tumulte, du spectacle de la guerre et de l'histoire. Des propos humanistes qui ne négligent pas les contradictions et les mensonges.