Au cours de la longue période qui va de Colomb à Copernic, de Copernic à Galilée, de la découverte de la terre à celle du ciel, la Renaissance n'accueille pas si favorablement ces novations. Elles ne semblent acceptées et acceptables qu'à la condition qu'elles s'inscrivent dans le passé de sorte que le passé les justifie. Une partie des études réunies dans le volume s'intéresse à l'innovation en France et en Angleterre survenue dans les domaines politique et religieux. L'autre partie aborde le passage de l'ancien au nouveau dans le domaine de la littérature anglaise (Shakespeare, Fletcher, Massinger, Shelley).
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