Dans « La route n’enfante que l’adieu », les poèmes ont été écrits au regard des peintures. La double méditation des auteurs évoque des expériences de vie, souvenirs ou témoignages. Les images, souvent poignantes, disent l’abandon, l’exil, la solitude que les mots traduisent avec retenue. Au bout, l’espoir, comme une terre d’asile.
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