Le sabler s'écoule, comme c'est triste la vieOù sont passés nos rêves, nos belles utopies.On ne voyait le monde qu'avec un ciel bleuMais l'orage qui gronde nous ouvre enfin les yeux(Noires pensées)J'entends le vent semblant pleurer dans les branches,Se souvenant peut-être de nos fols amoursQui n'ont duré que ce que durent pervenches,Belles écloses mais se fanant en quelques jours(Adieu amours pervenches)
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