En 1513, dans le dépouillement de sa propriété de Sant’Andrea in Percussina, Machiavel, évincé de la chancellerie de Florence, s’attelle à la rédaction de son désormais célèbre traité dédié au prince Julien de Médicis.
Je juge qu’il peut être vrai que la fortune soit l’arbitre de la moitié de nos actions, mais aussi qu’elle nous en laisse, à nous, gouverner l’autre moitié ou à peu près.
XXV, 4
Dans ce chef d’œuvre devenu classique, sur la façon d'acquérir et de conserver une principauté, Machiavel fait une ode au patriotisme. D'abord envers Florence puis l'Italie tout en dédiant son livre à Laurent II de Médicis comme sauveur de l'Italie, ...
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